• Aurore

    Il était une fois.
    Une rencontre Entre Aurore
    Et l'amour d'une cigogne
    Elle s'appelait Aurore !!
    C'était une fille magnifique.
    Elle avait des rêves.
    Plein la tête,
    Elle était belle.
    Comme le soleil du levant
    Tout lui réussissait.
    Elle trouvait refuge.
    Près de sa marraine,
    Cette princesse
    Très charmante aussi
    Pour l'emmener au bal.
    Puis elle mit.
    Ces plus beaux habits
    Pour aller faire la fête
    En ce premier jour de l'été
    Et bien que ce soit aujourd'hui
    Une fête particulière
    La fête de la musique
    Ne pouvant, compter
    Sur elle-même
    Quand elle pense
    À cette belle rencontre
    Comme ce premier
    Un jour mémorable
    Elle avait fait de cette journée.
    Mille est une nuit
    Sans citrouille,
    Ni de carrosse,
    Pour l'envoyer au bal alors,
    Elle a eu une brillante idée.
    Une jolie cigogne se posa.
    Sur le toit de sa maison
    Puis la cigogne était.
    Là faisant son nid ...
    Mais la demoiselle cigogne
    Ne voulant pas la déranger
    Lui demanda tout à coup.
    Tu vas ce soir à la fête.
    De la musique demanda elle ! !
    Mais oui répondit
    La demoiselle Aurore ! !
    Mais je n'ai ni carrosse.
    Ni même de citrouille
    Dans mon jardin
    Mais la cigogne
    Lui répondit ! !
    Mais tu n'as pas.
    Besoin de tout cela ! !
    Et puis s'est démodé
    Maintenant s'est du passé
    On, vol dans les airs
    Ça fait de plus belle lurette ! ! ,
    Mais j'ai plus jolie que ça ! !
    Mais je peux t'envoyer si tu veux ! !
    Sur mes ailes blanches,
    Que j'aie nettoyé ce matin ! !
    Et la petite Aurore très joyeuse,
    D'avoir trouvé cette cigogne
    Pour l'envoyer faire la fête
    Puis elle se posa sur ces ailes.
    Et les voilà partis toutes les deux,
    Faire la fête à la Villette
    Mais voilà que la fête bat son plein
    La petite aurore trouvait.
    Très belle cette cigogne
    Puis elle dansait.
    Avec qu'elle toute la soirée
    Jusqu'à que la musique
    Elle ne l'attendait plus.
    Elle était emportée.
    Par cette magnifique cigogne
    Et viens le matin
    Et au lever du jour
    Elle reste là, à regarder.
    Le toit de sa maison
    Elle ne la jamais
    Revue cette belle cigogne
    Qu'elle avait tant aimé
    Mais elle ne retrouvera plus l'amour.
    La cigogne l'avait emporté.
    Entre Aurore Et de cette belle cigogne
    Ce fut seulement une histoire.
    De la fête de la musique

    Auteur Françoise Le Vaillant


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  • Cœur infidèle

    Où vont ces hommes ?
    Quand ils ont mille fois bien travaillé
    À la recherche d'une proie facile
    Triée dans un carnet bien remplit
    De ces femmes jalouses d'être abusés
    Par leurs maris mal attentionné
    « Et il s'en va d'un pas pressé. »
    Aux après-midi de cinq à sept.
    En sortant de leur bureau
    « Et attend en chemise défroquer »
    Dans un hôtel morbide
    Aux draps froissés, aux journées cocuages
    En se donnant bonne conscience
    Après avoir passé à la caisse
    Sortant du bordel
    En rasant les murs au sourire inopiné
    « Et s'en va non-chaland retrouvé »
    Le lit sans rien dire
    Comme si cela allait s'arrêter
    Aux cœurs Infidèles d'avoir
    Tant aimé des Amours blessés !!
    « Et revient le soir les yeux bridés »
    D'une Journée bien remplit
    Aux heures accomplis...
    Où cela n'aurait jamais dû commencer,
    « Et s'asseyant comme un pékan »
    Dans un fauteuil de luxe
    Et son ventre bien gras...
    Ne pouvant plus s'asseoir
    Sur ces hormones aux Verges flaque
    « D'avoir tant aimé ces amours dessus »
    « Et son sourire angélique »
    Devant sa femme qui attend
    Son retour au coq magnifique
    « Et s'invente de ces journées »
    En n'en plus finir aux mensonges !!
    Qu'on s'en douterait !!
    Parfois de ces mensonges,
    De ces mesquineries !!,
    De monsieur le président...
    Directeur général.

    Auteur Françoise Le Vaillant


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  • Amour et sentiments

    Je ne souhaite que de te plaire.
    Qu'à toi, toi qui es devenu
    Le refuge de mes nuits,
    Toi mon émoi
    Je prendrais.
    Le temps de t'aimer,
    J'ai plein d'amour à te donner.
    La vie, je la croquerai
    L'autre moitié, je te la donnerai,
    Oh mon amour, tu es craquant,
    Et ton sourire rayonnant,
    Prenons le temps de nous aimer.
    Nous avons tant d'amour à partager.
    Sur mon lit, je te déposerai.
    Je te couvrirai de fleurs.
    Pour te combler,
    Unissions-nous à nos désirs ! !,
    Accordons-nous ce plaisir d'une nuit.
    Pour que l'instant soi sensuel ! !
    Je resterai, jusqu'au délice charnelle.
    Pour te combler et bien plus encore,
    Je ferais de nous deux le plus beau.
    Des écharpes de Vénus.
    De notre belle union,
    J'en ferais un bouquet.
    C'est à toi que je te l'offrirais.
    Mes sentiments, en mois non pas changé ! !
    C'est pour toi que je suis restée.
    Et si demain, on se quittait
    Disons-nous au revoir.
    Sans se fâcher
    De ma main, je fermerai.
    Doucement la porte
    Disons-nous simplement.
    Adieu

    Auteur Françoise Le Vaillant


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