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Par Victorienne le 3 Décembre 2020 à 00:51
Double jeu
Faisant de sa vie un double jeu
À travers sa vie, je vois la mienne
Se défilant à double sens, peu, tu te regardais
En face ! Aujourd’hui la trahison
Se paie au centuple ! Reprends ta vie en main.
Comme pour reconstruis ta liberté,
Ne creuse pas ton propre piège.
Tu peux faire ce que tu veux, de ta vie.
Mais sachez que d’un moment à l'autre
Il faut savoir se mettre en question.
Je ne vois pas comment on peut aimer.
Deux amours à la fois, tu étales ta vie
Et sous le poids de tes mensonges ! Tu l’aimes tant à en mourir.
Que tu ne vois pas que tu fais souffrir ! Ton amour-propre,
Tu fais ce double jeu comme un terrain de foot.
Je n’essaierai pas de te comprendre.
Car je vois bien que se double jeu reste inavoué
Mais cela dit, ça reste ta vie, c’est à toi de prendre
La bonne décision, je me lasse de cette vie
Sans avenir et ta présence et très pesante
Et quand je te vois, je ne suis pas en sécurité.
Qui effectivement, tu prenais une grande place dans m’a vie
Parce que quand je vois la majorité des couples
Ils sont tous heureux de vivre ! Ils font de leurs vies une histoire d’amour.
Et toi, il faut que tu essayes d’attraper tout ce qu’il bouge
Ouvre les yeux, il est encore tant, je vois ta pendaison.
Sous tes pieds, tu glisses à grand pas vers le néant.
Et sans comprendre, tu décides de faire la sourde oreille.
Car pour toi le plaisir passe avant tous et mon cœur saigne
De te voir gâcher ta vie et comme c’est décidé d’avance.
Bien sûr que ça te plaît d’exhiber cette vie à double jeu
Et ta voix s’est éteinte, laissant entière ton mystère.
Au fur et à mesure que je découvre ta vie.
Que ravive ta flamme, je me demande pourquoi tu n’as pas voulu...
Auteur Françoise le vaillant
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Par Victorienne le 2 Décembre 2020 à 21:38
C'était juste après la guerre.
C'était juste après la guerre.
J'allais d'un pas errant.
Dans ces rues sans ville
Tout s'était écroulé autour de moi.
Sans identité avec au regard terrifié,
Tout était à terre et moi, j'étais là seule.
Dans ma tête, le bruit retentissait.
Comme une déflagration,
Tout assombrissait autour de moi.
Dans les ténèbres de ces rues
Puis soudain cet homme surgissant
Des décombres, cela était sa maison.
Glissant comme un serpent
Ne pouvant plus marcher,
Je n'avais que cette petite.
Ballerine dans les pieds
Mais lui ce pauvre homme
Avait, ce sont deux jambes écrasaient
Ne pouvant plus crier
Il me regarda avec un visage.
Aussi meurtrie qu'un indigent,
Il n'arrive plus à crier.
La souffrance l'avait oublié.
N'ayant plus de force
Il plongea dans ses satyrismes.
Et déjà, la nuit, commencée à tomber
Sur ces rues et nous voilà
Tous les deux tremblant de froid,
Ou peut-être de peur, je ne sais pas.
De quoi je souffrais,
Je me blottissais tout contre lui.
Pour nous réchauffer puis soudain
Retentissais, une sirène de secours,
Au loin ne pouvant
Plus appeler ce secours
Nous sommes restés là.
Jusqu'au petit matin
Et au petit matin, il dormait.
Dans mes bras paisiblement,
Ne voulant pas bouger
Pour ne pas le réveiller,
Ne pouvant plus ouvrir les yeux,
Il restait là, robuste, il était.
On est resté là pendant près.
De quarante-huit heures
À attendre les secours
Une situation insoutenable,
Alors, je pense encore à lui
Mes nuits me hantent.
Je voudrais tant encore.
Repartir à sa recherche
Pour savoir après ces années
Qu'est-il devenu,
Aie qu'il se souvient toujours de moi,
Seul dieu le sera.
Auteur Françoise Le Vaillant
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Par Victorienne le 2 Décembre 2020 à 21:01
Balade en bord de mer
Le soleil reflet ces derniers rayons de soleil
Couchant derrière l'océan,
Et les vagues viennent s'échouer.
Doucement sur le sable forment des ruisselets,
Et l'eau réchauffait par le soleil s'impose.
Où ciel humecté de bleu,
Et les vagues roulent lentement à nos pieds.
Un souvenir de notre passage
Sur la plage avec toi,
Et les herbes que l'on voit
Découvrant les dunes verdoyantes
Aux reflets changeants,
Ensorcelé par le vent des alizés,
Susurrés par vent,
Loin là-bas, un léger
Le blizzard nous emporte.
Vers cette mer bleue,
C'est une joie devoir.
Ce sentencieux panorama,
Que je ne verrais qu'à travers,
De tes abords,
Je suis le miroir qui éclaire ton visage.
Où je vois refléter ton image, à travers l'océan,
On peut entendre le chant du vent.
Où les oiseaux marins, se joigne
Formant un duo animé
Enchante nos âmes par ces chants joyeux.
Où je suis le soleil de tes yeux
Par des milliards de pépites,
Et les vagues nous enveloppent
Dans le frimas du soir
Où le soleil va bientôt nous dire bonsoir
Sur les vagues de ton regard
Auteur Françoise Le Vaillant
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