• À traverser tes yeux

    J'irai, au pied de l'Asphalte.
    Offrir mon humble visage, …
    Tu parleras de moi, d'antan.

    Au fond du ciel, pacifique,
    Ton frôlement me fait tressaillir.
    Jusqu'aux os de son regard.

    Pleine et invisible ...
    Le soir tombe, le ciel ce calme.
    Exsangue comme un vase en cristal.

    Il scrute le ciel.
    Au loin, résonne d'un bruit régulier.
    Un bruit régulier jusqu'à bondir.

    Pour se juchent sur l'abri
    D'une branche élevée.
    Au-dessus des bruits du centenaire.

    À l'est de l'occident,
    Au fond du ciel serein,
    Cent fois répercuté.

    Comme un lointain grondement.
    Dans un rêve étrange
    Où lumière et tout sourire.


    Auteur Françoise Le Vaillant


    2 commentaires
  • Cœur semblable au tien

    Sur la mer, je voguerai.
    En songeant à toi, voyageur
    Les vagues bercent mon cœur.
    Mon cœur crie de douleur.
    Pour cette femme amoureuse
    Vie une liaison dangereuse
    Tes yeux représentent ma sphère lumineuse.
    Plus beau qu'un bouquet de fleurs sauvages
    Le corps exalte sur les vagues.
    Quand nos regards se croisent
    À la rencontre, nos âmes unissent.
    Se mêle à la couleur flamboyante,
    Quand tu me fais rêver
    Quand le soleil se lèveras
    Toi la clé de mon univers
    Qui se traduire en un seul vers,
    J'empêcherai le vent de courir.
    La fleur solitaire de mourir,
    L'oiseau aérien si prodigieux
    De voler, par de là les cieux
    Même, par amour mon cœur,
    Et mon corps s'en flamme.
    Ôte ce qu'il y a dans mon âme.
    Personne ne m'empêchera pas te dire : « Je t'aime ».
    Et mon fait révéler la passion
    Celui dont je préfère cette adoration,
    L'esprit s'allège à l'arôme cuivré.
    Tes lèvres sont mon joyau doré.
    Le bonheur s'envolera au vent.
    Qui sans cesse, en ce moment,
    C'est d'être honnête dans la vie.
    C'est éventuellement un bonheur de survie.
    Le poète sombre dans le désespoir.
    Tes cheveux sont des épis dorés.
    Ton visage est un champ de blé.
    Et Bien plus doux, qu'un d'uvée.
    Toi qui émets tant de volupté.
    Je veux que tout moment, tu sois à mes côtés.
    Tu me dis de ne pas pleurer et de plus penser.
    Je te promets que je vais essayer.

    Auteur Françoise Le Vaillant


    votre commentaire
  • Ce n'est qu'un au revoir

    Il y avait toujours au fond de ses yeux
    Cette étincelle qui le rendait joyeux,
    Et sa voix qui berçait mes nuits.

    Les années sont là,
    De sa présence il me réconfortait,
    Tant qu'il était près de moi,

    Rien ne pouvait ne pouvais prédire.
    Que nos chemins nous éloigneraient.
    Je sens toujours sa présence...

    Je sais que notre amour n'est pas fini,
    Je suis restée égale à moi-même.
    Le jour où l'on s'est quitté,

    Je me suis sentie seule, désespérée,
    Je souffrais de son absence,
    J'ai versé bien des larmes.

    Seules toutes les nuits,
    Au fond de mon lit,
    Bien des fois je m'assoupissais,

    Je ne vivais plus.
    La vie s'est arrêtée ce jour-là,
    Devant ce changement si soudain,

    Malgré le temps,
    Nous n'avons pu nous reconstruire,
    Ce sont les aléas de la vie.

    Nous avons eu de bons moments,
    Je l'aimais, ça c'est sûr,
    Malgré ses inventions qui le faisaient rougir,

    Et ses prises de tête, jamais satisfait,
    On revenait toujours sur le même sujet,
    Sur ses mensonges, souvent très discrets.

    Je me suis mise à l'écart pour ne pas l'entendre,
    Il me parlait d'amour, je ne l'entendais plus,
    J'apercevais la noirceur dans son cœur,

    Il me disait des mots,
    Je n'attendais que le bonheur…

    Auteur : Françoise le Vaillant


    4 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique