-
Par Victorienne le 1 Décembre 2020 à 09:22
Des cris dans la plaine
Ils se lèvent à l'aurore.
Ces Indiens surgissent, de nul-par.
Poussant des cris sauvages,Des joues rougis, chevauchant au vent,
Alors, que leurs pieds nus
Soulevant, la poussière, ...Galope sur leurs chevaux.
Dans les flots du matin,
La rosée tombant de chaque arbreComme des cristaux de neige qui scintille,
La lumière traverse l'orée de la forêt.
Où le soleil brille, sur la route vallonnée,Débouchant du troupeau.
Un charognard dont le poil roux se dresse,
Elle surgit, aboyant à ses clameurs.Les chiens se précipitèrent au-dehors.
En aboyant encore plus fort,
Dans la forêt un bruit effrayant...Avec un vacarme amer,
La révolte à présent est plus terrible.
Leurs crocs font de grand bruit,Des craquements d'os. Qu'il broie ;
Elle se centre au beau.
Milieu des feuillagesLà voyant aux abois.
Montes en vagues ébouriffées.
On, les entends crier.À plusieurs milliers à la ronde,
Se redresse, secoua
Sa tête, hargneusement...Comme des bêtes en furie,
Voulant tenir la proie,
Saignant, aux entrailles,Comme s'il n'attendait que cela.
Des immenses flèches, sifflent.
Par colonne foudroyante,Siffle comme des éclairs.
Monta vers le firmament,
Un vieil homme là-bas
,
Et la fille de ce sien, là voir apeuré, ...
Il se dirige vers elle en courant.
Puis ses yeux se tournent vers ce pays.Où je reviens, ils ne peuvent plus ...
Dans la poussière qui s'élève
Autour d'elles comme un nuage.Elle s'en est allé à l'aube.
IL Soulève, la poussière
Dans la lueur du matin,Les crânes, les poussières,
Les os des genoux,
Était sacrifiât aux prières !
Auteur Françoise Le Vaillant
votre commentaire -
Par Victorienne le 1 Décembre 2020 à 09:19
Déjà l'automne
Le ciel est au frimas de l'hiver.
Les arbres sont couverts de rosée.
Une épaisse de feuillage gelé,Avec lequel joue l'alizé,
Le soleil semble être parti.
Par une autre porte sortie,Plongeant les nuages derrière
Les giboulées, forment une barrière.
Laisse l'alpage dans la nébulosité.Un vieux réverbère tamisé,
Laissant apparaître l'obscurité.
La verdure s'est mise au blanc.Arroser d'un petit pelage blanc,
Tombe quelque goutte de pois blanc.
Déjà la nuit à ouvré son canapé-lit.J'empreins la porte de sortie.
J'aperçois le clocher de la contrée.
Quelque percussion teinte dans la soirée,En sonnant quelques volés,
Et le vent saisissant mes mains violacé,
Réussis à me les faire geler.Je ne m'attarde pas.
Je presse, le pas.
Je vois quelque badaud,S'accoudant aux fanaux,
Déjà épuisé par cette journée,
Qui vient de s'achever.Un grand feu pétille dans la cheminée.
Cherchant un peu de chaleur,
Après un dur labeur.Auteur Françoise, Le Vaillant
votre commentaire -
Par Victorienne le 30 Novembre 2020 à 21:25
Le pompiste
Dans le matin, aux s'aurore
L’œil encore endormi
Dans la lueur de la nuit
La casquette à la main
Comme un bienheureux
S’en va de bon train
Chercher fortune pour gagner
Son pain quotidien.
D'humbles services,
Il est bénévole au resto avec ces copains -.
Pour que chacun mange à sa faim.
De son autre métier,
Il est pompiste.
Bien malgré lui,
Il finit ses journées dans la soirée.
Vers vingt-trois heures.
C’est réellement un travailleur.
Ce pompiste de cœur.
Auteur Françoise Le Vaillant
2 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique